Les premiers essais se sont réalisés sur papier Hahnemühle - 1996.
A partir d'un dessin numérique matérialisé en négatif et reporté par solvant sur une plaque de plastique.
la douceur du rendu m'a surpris, si dans le fond je souhaitais par la gravure "humaniser le dessin numérique", j'en ai eu la preuve dès le départ!
L'attaque du plastique par le solvant donne un rendu entre l'eau forte et la pointe sèche...
beaucoup moins solide que le métal pour le premier tirage, tout reste relativement stable par la suite.
Le potentiel du transfert, je ne l'ai toujours pas cerné.
Il devient acte de gravure et non de monotype.
Les modifications qui apparaissent entre lui et le "fichier numérique primordial" donnent naissance à une matrice qui est loin d'être une jumelle ... et l'apparition du"blanc retrouvé" comme avec les Tours de la XIXème sourate, mais d'une autre manière...m'ont convaincu de l'intérêt de la recherche.
Les formats sont encore modestes approximativement 70 cm de haut...
et l'utilisation du trichloréthylène bientôt remplacé par le perchloroéthylène, ne rendait pas encore aisée le transfert en raison de l'odeur,de la toxicité du procédé et de la difficulté de retirer le tirage sur papier transféré très adhérent au plastique.
et l'utilisation du trichloréthylène bientôt remplacé par le perchloroéthylène, ne rendait pas encore aisée le transfert en raison de l'odeur,de la toxicité du procédé et de la difficulté de retirer le tirage sur papier transféré très adhérent au plastique.
Ce qui me réjouissait particulièrement c'était l'abandon du dessin autographique, enfin apparaît une image comme un concept, mais je reviendrais sur la définition de l'image...si on la défini comme reflet du réel... ici on en est loin et ce n'est pas le propos...
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